lundi 14 février 2011

SENS: ville anciennement fortifiée, à 19 km de Champigny sur Yonne.

Exrait du livre consultable en ligne 


En 1838......
Des neuf portes de la ville actuellement existantes à Sens, trois paraissent antérieures au xive siècle, ou construites à cette époque : ce sont celles de Notre-Dame, de Saint-Antoine et de Saint-Remi ; 
d'autres portes ont été rebâties depuis peu ; en voici les noms : Portes Dauphine, d'Yonne, Saint-Hilaire, Saint-Didier et Formeau ; enfln la neuvième porte, celle Royale ou de l'Esplanade, n'a été ouverte qu'en 1787.

La porte Notre-Dame portait, dès 525, le nom de porte Saint-Léon ; en 959, elle prit le nom de porte NotreDame, ...........................................................................................................On donna, en mémoire de cette journée, le nom de Notre-Dame à la porte SaintLéon. La porte Notre-Dame, dans son état actuel, parait avoir été bâtie sous Charles V. On y voit encore des machicoulis et les traces du pont-levis ................
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Des images et documents de diverses sources, donnent une idée de ce que pouvait être la ville fortifiée de Sens.


Gravure de Sens en 1630


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Plan , extrait du bulletin de la Société Archéologique de Sens , 1846


Porte Notre-Dame (qui se situait à l'extrémité  actuelle  de la rue Thénard): 2 vues



Porte Saint Antoine ( qui se positionnait vers l'hôtel de l'Esplanade, Place Jean Jaurès, actuels)



Porte Saint Hilaire, (qui était  à l'angle actuel de la rue du Général Allix et du Boulevard du 14 juillet)


Porte Saint Didier (qui se situait à l'extrémité actuelle, nord de la rue Beaurepaire)



Porte Dauphine (qui était à l' extrémité actuelle, sud de la rue de la République)


La Porte Saint Rémy (qui se positionnait à l'extrémité actuelle,  sud de la rue de l'Ecrivain, faisant angle avec le cours Tarbé)



La Porte d'Yonne et la Grosse Tour (qui se positionnait dans le bas actuel de la grande rue)



La Poterne des anciennes fortifications gallo-romaines (actuellement boulevard du 14 juillet, près de la rue de l'Amiral Rossel)


Tour de la Brèche , ou eu lieu le siège de Henri IV en 1590, (tour qui de situe toujours boulevard du 14 juillet, à proximité de la rue du Général Allix)    



Une Tour des Anciens remparts démolie en 1844 (qui n'existe plus... actuellement Boulevard Maupéou, face rue du Clos-le-Roi)



 Anciennes portes romaines non situées...




Vue de Sens , site Géoportail ....



Plan de Sens



Deligand Jean-Claude (né le 26/11/1769 à Nailly), Chevalier de la Légion d'Honneur

Jean-Claude Deligand  Chevalier de l'Empire
  • Père de Jean-François Edouard Deligand  Conseiller Général, Maire de Sens
  • Grand père de Deligand Georges Edouard                                                                                            Tous les deux Chevaliers de la Légion d'Honneur


Généalogie de la Famille DELIGAND, sur Nailly et Sens (partielle)

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MessageSujet: DELIGAND (Jean-Claude) Sergent-major 28è de ligne Sens YONNE   Ven 16 Nov - 9:48

Fiche présentée par M. Jean-Pierre BIBET
Sources : M. Jean-Pierre BIBET - Archives nationales :
Dossier de la Légion d'honneur cote L0713022

Département de l’Yonne
Arrondissement de Sens
Canton de Sens
Commune : SENS 

DELIGAND (Jean-Claude)
(1769-1845)


Volontaire

2è bataillon de l’Yonne

Sergent-major
28è de ligne
Membre de la Légion d’honneur
Médaille militaire de Sainte-Hélène.



Né le 26 novembre 1769, à Nailly (Yonne)
Fils du légitime mariage de Claude-Bernard Deligand, et de Marie-Anne Chevalier
Epoux de Amélie-Louise Maillet
Décédé à Sens (Yonne), le 20 janvier 1845
Inhumé dans le cimetière de Sens.


La sépulture existe encore de nos jours


Etat des services :
Engagé volontaire dans le 2è bataillon de l’Yonne, du 22 septembre 1791 au 30 ventôse an V (20 mars 1797)
A repris du service à la 28è demi-brigade d’infanterie de ligne, 31 juillet 1798.
Caporal, 25 thermidor an VIII (13 about 1800.)
Fourrier, 1er fructidor an VIII (19 août 1800.)
Sergent, 4 germinal an XI (25 mars 1803.)
Sergent-major, à la 3è compagnie, du 3è bataillon, du 28è de ligne, 16 floréal an XI. (6 mai 1803)
Bénéficiaire d’une pension de retraite de 200 francs, par décision du 7 janvier 1808.

Motif de la retraite :
Demande fondée sur douleurs rhumatismales fixées sur la poitrine qui vont jusqu'à la suffocation à la moindre marche et fatigue. Est également sujet à une douleur sur l’hypocondre gauche, suite d’une forte contusion par l’effet d’une explosion d’un caisson, à la prise de Courtray en l’an II, le visage fut brûlé ainsi que les yeux qui depuis ce temps, sont très affaiblis et larmoyant. A reçu, en outre, un coup de sabre sur la partie externe de la main gauche, les deux derniers doigts en sont restés sans force et gênés dans leurs mouvements.

Campagnes militaires :
1791 à 1793 : Armée du Nord.
Ans III à IV : Armée de Sambre-et-Meuse.
Ans VII et VIII : Armée du Rhin
An IX : Armée d’Italie.
Ans XII à XIII : Camp de Boulogne.
An XIV à 1807 : Grande Armée.

Autres fonctions :
Employé à la mairie de Sens.

Décorations :
- Membre (Chevalier) de la Légion d’honneur, par décret du 14 brumaire an XIII (5 novembre 1804.).
- Décoré en 1857 de la médaille militaire de Sainte-Hélène.

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Vive libre ou mourir (ROBESPIERRE)





Mon arrière Grand Père, famille éloignée des "Deligand" cités avant

         Deligand Edouard, Isidore, Edmond. 
  
Né le  26/12/1858 à  Villebougis, puis vécut à Pont sur Yonne , à Saint Martin du tertre  
  décédé le 16/04/1943  (85 ans) à Malay le Grand; 
Mariage  14/06/1884 à Saint Serotin  
avec Villiers Estelle Claire
 née le 04/12/1864 à  Brannay   décédée le  20/11/1917  (53 ans)  à Malay le Grand


Les arrières grands parents de mon arrière grand père
Deligand Jacques né vers 1775 +- 5
Mariage avec  Terrier Marguerite  10 Messidor an 7  =  28/06/1799
à   Nailly